lectures confinement :

Thomas Hardy : Loin de la foule déchainée
2. Giono : Colline et Regain
3. Sand : François le Champi, la petite Fadette
4. Tournier : Vendredi ou les limbes du pacifique
5. Colette : Sido, les vrilles de la vigne, la maison de Claudine
6. Balzac : les Chouans, Eugénie Grandet
7. Stendhal : le rouge et le noir, la Chartreuse de Parme( pour ceux qui veulent des intrigues d'amour, et aussi le 8)
8. Madame de la Fayette : la princesse de Montpensier, la princesse de Clèves
9. Flaubert : par les champs et par les grèves, Maupassant : la vie errante
10. Camus : les Noces, l’été ; 
Bonus :
11. Borgès : l’auteur

pensées de Giacomo Leopardi : https://books.google.fr/books?id=9q4O-nYLhNsC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

Thomas Mann, la Montagne magique , 1927, traduit de l'allemand : 

https://www.ebooksgratuits.com/pdf/mann_la_montagne_magique_1.pdf

http://rimbaudexplique.free.fr/poemes/bateau.html

De l'appréhension de l'architecture à la réminiscence de la violence : chez Sebald, dans Vertiges, p 129 Folio. 

 Hegel, préface  de la phénoménologie de l'esprit, p 11

Mais comme il y a une extension vide, il y a une vide profondeur; comme il y a une extension de la substance qui se répand en multiplicité finie, sans force pour rassembler et retenir cette multiplicité, il y a aussi une intensité sans contenu qui, se comportant comme force 'pure sans expansion, coïncide avec la superficialité. La force de l'esprit est seulement aussi grande que son extériorisation, sa profondeur, profonde seulement dans la mesure selon laquelle elle ose s'épancher et se perdre en se déployant